363 research outputs found

    Changement climatique et santé : actes de la conférence internationale

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    Parasite evolutionnary events inferred from host phylogeny : the case of Labeo species (Teleostei, Cyprinidae) and their dactylogyrid parasites (Monogenea, Dactylogyridae)

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    Deux phylogénies élaborées de manière indépendante, l'une concernant des poissons, l'autre leurs ectoparasites branchiaux, sont proposées. La première phylogénie réalisée à partir de caractères alléliques intéresse des poissons africains du genre #Labeo (#Teleostei, #Cyprinidae). La seconde, établie sur la base de caractère morpho-anatomiques, illustre les relations entre des Monogènes du genre #Dactylogyrus (#Monogenea, #Dactylogyridae) spécifiques de leur taxon-hôte. La comparaison des phylogénies hôtes et parasites ne semble pas totalement répondre aux prédictions faites en fonction de larègle de Fahrenholz. Les parasites rencontrés chez #L. coubie et chez #L. senegalensis semblent résulter à la fois d'un processus d'évolution parallèle hôte-parasite ainsi que de multiples séquences de colonisations entre ces deux espèces hôtes parentes. Cependant quel que soit le type de relation entretenu entre #L. coubie - #L. senegalensis et leurs parasites spécifiques. #Dactylogyrus brevicirrus, parasite spécifique de #L. parvus, et #D. nathaliae, parasite spécifique de #L. roseopunctatus, résultent d'un phénomène de capture parasitaire et de spéciations sur un nouvel hôte. (D'après résumé d'auteur

    Three simultaneous and independent approaches to the characterization of a new species of Labeo (Teleostei, Cyprinidae) from West Africa

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    Une nouvelle espèce de #Labeo (Cuvier, 1817) a été trouvée dans les hauts bassins du Niger et du Sénégal (Baoulé). Quoique reconnue comme une nouvelle espèce, certains caractères se chevauchent avec ceux de deux autres espèces sympatriques : #L. coubie et #L. senegalensis. Ce chevauchement est d'ailleurs suffisant pour ne pas écarter le fait que cette supposée nouvelle espèce ne soit en réalité qu'un hybride des deux autres. Pour vérifier l'une ou l'autre hypothèse, trois méthodes séparées ont été utilisées : une analyse morphologique/morphométrique, une analyse chromosomique/enzymologique et une étude de parasitologie comparative. Ces trois études complémentaires ont été menées simultanément mais surtout de façon indépendante afin de minimiser au mieux de tout préjugé. A partir de cela, nous avons pu montrer que chacune des trois espèces pouvait être caractérisée grâce à la combinaison de caractères morphologiques (forme de la bouche notamment) et méristiques (nombre de branchiospines essentiellement). Si les trois espèces possèdent le même nombre de chromosomes (2N = 50), le nouveau morphotype présente quatre loci homozygotes pour des allèles qui n'existent ni chez #L. coubie ni chez #L. senegalensis

    Parasite richness/sampling effort/host range : the fancy three-piece Jigsaw puzzle

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    In this article, Jean-François Guégan and Clive Kennedy propose an alternative explanation for the confounding effects of host geographical range and sampling effort on parasite species richness using pathway analysis procedure. They suggest that much of the species richness revealed by sampling effort is also a reflection of host range. Thus, the total contribution of host range logically incorporates a contribution from sampling effort. The implications of indirect effects of host range on richness estimates have not previously been discussed, and the authors here attempt to redress the balance. The contribution of host range to richness, as derived from control of sampling effort on richness estimates, therefore, is a mathematical expression that does not take into account the cause-and-effect nature of things. (Résumé d'auteur

    Les grands Barbus (Teleostei, Cyprinidae) d'Afrique de l'Ouest : révision systématique et parasitofaune branchiale

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    Une révision des grands #Barbus d'Afrique de l'Ouest a permis de montrer queles espèces #B. occidentalis et #B. waldroni appartiennent en réalité à la même lignée que #B. bynni et doivent être considérées comme des sous-espèces, ce qui est d'ailleurs confirmé par l'étude des Monogènes branchiaux. La variabilité des caractères méristiques et métriques de #B. sacratus et #B. petitjeani a également été étudiée et leur distribution géographique a été précisée. Les espèces #B. gruveli et #B. lagoensis ne sont actuellement connues que par les types. Nous replaçons dans le genre #Barbus l'espèce #B. wurtzi précédemment rangée parmi les #Varucorhinus. En utilisant les parasites branchiaux, une hypothèse phylogénétique est proposée pour les grands #Barbus ouest-africains. (Résumé d'auteur
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